Chapitre 8 Il Etait Une Fois Un Vieux Couple Heureux

Le récit sera développé en fonction du passé agité du vieux et ses pensées. Le progrès vient provoquer un véritable changement au village paisible. Les poèmes du vieux seront diffusés à la radio et mis en chansons. Le Vieux se réjouit de l’avènement de la verdure printanière après les averses de l’hiver, ce qui permit au couple de manger des fruits et des légumes frais.

Ainsi, l’auteur gagna de l’argent dont il offrit une partie à l’imam pour la réfection de la medersa. Le vieux couple, Bouchaib et sa femme, menait une vie au milieu des ruines hantées par les reptiles et les animaux sauvages dans village montagneux au Sud du pays. Après plusieurs périples au Nord et dans une partie de l’Europe, l’homme y avait élu domicile. C’est un bon croyant et fin lettré qui possédait à Mazagan une échoppe lui permettant de vivre à l’aise dans ce village reculé. Les deux vieux vivaient en bons termes avec la nature hostile et les voisins.

La circoncision des deux enfants effrayés terminés, les invités conversèrent autour de ce rite et de l’excision dans certains pays africains. Quelques jours plus tard le Vieux se rendit magasin du village. Il demanda qu’on lui présentât tous les lecteurs de cassettes disponibles, ce qu’on fit. Examen régional de français – Bac libre Casablanca Settat – session Normale 2022 (toutes les filières) اضغط و شاهد فيديو الشرح… Il était en Europe et au nord du Maroc, il s’est installé au village pour fuir les villes meurtrières et misérables et pour profiter de l’inquiétude. Les pauvres toujours les mêmes collés à leur terre misérable, à leurs maisons archaïques.

chapitre 8 il etait une fois un vieux couple heureux

Aujourd’hui les jeunes cherchent à se vendre pour l’argent, pour se trouver à l’autre côté du rive. Un jour, Bouchaib assista à l’incendie du verger d’Oumouh. Le lendemain, il apprit qu’on avait trouvé dans le verger des canettes de bière et des mégots. Il était sûr qu’Oumouh serait dédommagé par les parvenus dont les fils dépravés avaient provoqué l’incendie.

Ces enfants communiquent-ils facilement avec les habitants du village ? D’après le texte, le vieux porte-t-il un jugement valorisant ou dévalorisant sur les enfants des immigrés ? Nous avons mieux vécu que ces s- parents qui ont semé à tout-va sans savoir où cela pourrait les mener. « Allons chercher les petits os des vieux », ont dit ces chenapans en courant dans le Icimetière et en donnant des coups de pied dans les tertres. Même pas peur de la mort, et encore moins de ses symboles !

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Dans ces poèmes, il parlait de l’amour, de la beauté et de la nature. Buvant le thé, le Vieux contemplait la montagne et réfléchissait aux changements que le temps apportait. Il se souvint de Khoubbane qui lui apportait ses porte-plumes, ses crayons et ses cahiers. Examens régionaux de français, fiches pédagogiques, productions écrites . Ce roman est une œuvre posthume apparue aux éditions du Seuil en 2002. Il raconte la vie d’un couple heureux où le vieux passe ses journées à écrire des poèmes en berbère et à savourer les repas faits par la vielle, sa femme.

L’aïeule, doyenne de la région, refusait cependant de quitter la demeure délabrée où elle végétait en compagnie de son fils démuni. Il était affligé à l’idée qu’après la mort de la doyenne, le fils, renié par ses frères, vende la demeure qui serait démolie. Bouchaib déplora la vente du troupeau, dernier symbole de la région gagnée par une modernité frénétique. Le troupeau lui rappelait l’Ancêtre venu du Sahara pour s’installer dans la région. C’est pour préserver ce patrimoine que le Vieux écrivait.

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En sa qualité de policier du village, le Vieux reçut, du temps de la colonisation, un Mokhazni venu chercher des résistants en fuite. Il le rabroua en lui signifiant sèchement que les fuyards n’étaient pas au village, et en informa les concernés qui continuèrent à vivre en toute quiétude. Après s’être délecté de ce souvenir qui lui était cher, Bouchaib alla tendre un piège pour attraper des lièvres.

Un jour, à la fin de l’été, après de bonnes récoltes, Bouchaib fumait alors que sa femme préparait le tajine. Le lendemain les deux Vieux apprirent que la ville d’Agadir avait été complètement détruite. Les habitants du village, pris de panique, firent montre d’une grande piété. D’aucuns virent un châtiment divin, contrairement à Bouchaib qui expliqua scientifiquement ce cataclysme naturel. Après une longue attente, les paysans se réjouirent des pluies torrentielles qui s’abattirent sur leur village. Dans ces villes régnaient la pauvreté, la mendicité et l’indifférence à l’égard du prochain.

Et même s’ils n’avaient pas d’enfants, ils n’éprouvaient aucune amertume. C’est un bon croyant et fin lettré qui possédait à Mazagan une échoppe luipermettant de vivre à l’aise dans ce village reculé. Les deux vieux vivaient en bonstermes avec la nature hostile et les voisins. Et même s’ils n’avaient pas d’enfants, ilsn’éprouvaient aucune amertume.