En d’autres termes, les autres nous voient comme nous nous percevons nous-mêmes. En effet, les individus n’entrevoient qu’une partie des choses et chaque personne en perçoit une partie différente. Parce que la réalité est beaucoup trop vaste pour parvenir à la saisir dans sa globalité. En fait, notre inconscient opère un tri dans les informations et ce tri, différent selon les personnes, va dépendre, entre autres, de nos croyances. Julian décide d’aller profiter de ses derniers jours à Bali sur une petite terrasse.
Il n’est pas complètement épanoui car il n’est pas en couple. Il aurait préféré exercer le métier de photographe plutôt qu’enseignant. Inconsciemment, ses croyances ne lui permettent pas de faire des choix de vie qui le rendraient plus heureux. Il préfère encore ne rien tenter que d’essuyer un échec ou décevoir ces proches.
« Je l’ai lu il y a quelque temps, et depuis, dès que j’en trouve un exemplaire, je l’offre à une amie », me dit-elle. Je publie ici des critiques de livres, de films et documentaires… ainsi que des récaps de La Servante Écarlate & Game Of Thrones ! J’évoque souvent la Shoah/la Seconde Guerre Mondiale, sujet qui me tient très à cœur. Ce serait désormais sa vie, fruit de ses choix et de sa volonté.
Mais il est sale si on l’obtient en abusant des autres. Il est important également de savoir donner de son argent. Les hommes qui ne font qu’amasser des fortunes se dessèchent avec le temps. L’argent donné de bon cœur produit une énergie positive. Le sage reprit par la suite les différents éléments du rêve d’une vie où Julian serait heureux. À cet effet, le personnage principal décrit que l’élément central de son projet est de s’installer à son compte, en créant son propre studio de photographie de mariage.
Celui d’un enseignant, Julian, parti en vacances à Bali. Peu avant son retour, il décide d’aller consulter un guérisseur qui remet profondément en question sa vision du monde et des autres. Le sage poursuit la leçon en disant à son protégé qu’il devrait suivre une formation en management pour réaliser son projet. Julian rouspète en disant que cela lui demanderait du temps et de l’argent, et qu’il n’avait l’un ni l’autre en ce moment.
La Carte OCCAZ’ donne droit à une réduction de 20% du prix de vente TTC sur les livres d’occasion identifiés par ce picto. Une sélection de livres rares et exigeants pour changer de vie. Pour ma part, il a été comme un électrochoc étant donné que je l’ai lu à un moment de ma vie où j’étais perdue suite à un mauvais choix de filière scolaire qui retardait mes projets personnels… Quand on termine ce livre, on se sent étrangement bien, plein d’optimisme avec une envie de croquer la vie à pleines dents. Sans parler de l’envie très prononcé de voyager à Bali.
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Julian souhaite également avoir un certain confort matériel. À cela le vieil homme répond qu’il est normal de souhaiter un certain confort, mais il précise que ce dernier n’apportait pas le bonheur. Son absence pouvait altérer le bonheur mais c’était uniquement une croyance de penser que les biens matériels rendent les gens plus heureux. Il rajoute que cette croyance rend les gens bien malheureux, puisque cela les poussent à entreprendre une course sans fin. Quelque soit le niveau matériel auquel les gens aspirent, ils désirent toujours plus dès qu’ils l’ont atteint.
La freins que constituent nos croyances personnelles (comme l’image que l’on a de soi) et sociétales (comme l’effet placebo). Quant à Hans, il lui est aisé de comprendre désormais son obsession de l’action et son incapacité à s’accorder des instants de détente. Ceux qui traînaillent, papillonnent ou s’accordent des plaisirs meurent.
Chapitre 7 – Une deuxième rencontre bouleversante pour Julian
Il était fier de lui, fier d’avoir réussi à surmonter sa paresse, à mobiliser toutes ses forces et à aller au bout de sa décision. Julian avoue au sage qu’il a souvent l’impression que c’est les autres qui choisissent à sa place. Le sage lui répond que c’est parce qu’il choisit tout simplement de laisser les autres décider pour lui. Il rajoute également que plus on avance sur son chemin de vie, plus on se débarrasse de nos croyances limitantes, et plus les choix apparaissent dans nos vies. Le sage voulut par la suite savoir ce que Julian ressentait lorsqu’il s’imaginait dans la peau d’un photographe.
Il est très impressionné par Maître Samtyang, il l’admire. Maître Samtyang est un guérisseur doté de beaucoup de sagesse et d’humilité. En le quittant, Julian se met à étudier son couple d’amis Hans et Claudia. Si l’on tient les comptes, tout cela s’est passé un lundi. Julian se demande donc pourquoi l’argent est-il quelque chose de sale actuellement. Le sage lui dit alors que l’argent est sain, lorsque l’on fait bénéficier aux autres de nos meilleures compétences.
J’ai trouvé les autres avis dur et non justifié avec l’auteur et l’histoire. Découvrez tout notre univers livres dans 19 magasins en France. Vous êtes quelqu’un de malheureux, dit-il, comme s’il posait son diagnostic. Je viens pour un check-up, lui confiai-je en rougissant à l’idée que je n’étais pas à la visite médicale annuelle et que ma demande était déplacée. Il me salua et m’accueillit simplement, s’exprimant avec beaucoup de douceur dans un très bon anglais.
Il lui prouvait de cette façon tout ce qu’il venait de lui enseigner. Les idées sont intéressantes mais beaucoup entendues ; il faudra aller vers d’autres lectures pour approfondir. Les peurs à dépasser (celles de décevoir, d’être rejeter par exemple).