La Sensibilité Aux Oeuvres D’art Demande T Elle A Etre Éduquée

C’est peut-être le dieu en question qui se fâche et qui va nous planter nos ordinateurs pour montrer qu’on ne parle pas de lui impunément. C’est bizarre, j’ai des messages que je peux pas envoyer et que finalement ils s’envoient quand même, en tous cas, ils arrivent plusieurs fois… Bizarre… Bon j’espère que le dieu de zikinf va pas prendre ça pour lui… D’ailleurs dieu fond dans la bouche pas dans la main.

Si nous disons que la sensibilité aux œuvres d’art demande à être éduquée, cela veut dire que lasensibilité en question n’est pas suffisante, qu’elle demande cette formation rendue possible par une éducation, surla nature de laquelle nous aurons à nous interroger. Effectivement la sensibilité aux oeuvres d’art demande à être éduquée dans la mesure où sa possibilité apparaît. Comme toute éducation demande à être refaite par celui qui a été éduqué, de la même manière le développement de la sensibilité réclame une reprise et l’éveil à soi. C’est en effet à une nouvelle existence que le sujet est invité.

Je ne suis pas du tout philosophe, ni même artiste, mais je trouve bizarre que le verbe communiquer (j’ose pas utiliser communication, c’est devenu trivial) n’ait pas encore été « prononcé ». Dès que ça traite de subjectivité et d’intégration sociale, ce n’est pas évident de faire la part des choses. Pusi pouir les oeuvres j ai quand meme séparé les oeuvres dites belles et l art contemporain…

Mais c’est en un autre sens que la sensibilité ne demande pas à être éduquée. La sensibilité aux œuvres d’art, une faculté qu’il est inutile d’éduquer ? Si l’histoire de l’art offre des ressources utiles pour comprendre le devenir des formes esthétiques et leur contexte, c’est surtout la fréquentation directe des œuvres qui permet le développement de cette sensibilité.

la sensibilité aux oeuvres d'art demande t elle a etre éduquée

Si on se demande si l’éductaion vient de la famille, de professeurs, ou si l’on peut concevoir qu’on s’éduque aussi soi meme cela change la donne…. Enfin, il est con ce sujet, parce qu’il implique encore une réponse à la « oui et non »… ’tain le bac, c’est vraiment de la daube… Merci d’ajouter notre site à votre liste d’exceptions, ou de désactiver votre bloqueur de publicités. Pimido, c’est 20 ans d’expérience dans la rédaction, l’optimisation, l’achat et la vente en ligne de documents. Pensée par des étudiants, la plateforme Pimido utilise des outils de détection anti-plagiat pointus, permettant l’analyse et l’optimisation de contenu rédigé par des étudiants ou des professionnels. Exemple de dissertation conforme à la méthode donnée en début d’année.

Corrigé : La sensibilité aux oeuvres d’art demande-t-elle à être éduquée ?

La réception des œuvres d’art, si elle convoque les sens, ne saurait s’y limiter. On pourra alors analyser en quoi consiste cette formation et montrer à quelle condition elle permet de développer, d’affiner notre réceptivité aux œuvres d’art afin d’étendre le champ de notre expérience esthétique. L’activation de cette sensibilité aux oeuvres d’art exige la rencontre des oeuvres d’art dès la première éducation parentale. 2) On observe ainsi que face aux œuvres d’art s’exprime une diversité d’opinions qui traduisent des préférences personnelles.

Obtenir un corrigé personnalisé du sujet de philosophie : La sensibilité aux œuvres d’art demande-t-elle à être éduquée ?

Il s’agit donc non pas seulement de percevoir les oeuvres, mais aussi de les apprécier positivement ou négativement. Nous commencerons par dire que la sensibilité aux œuvres d’art ne s’éduque pas, car il semble contradictoire de direque la sensibilité est capable d’être éduquée. La sensibilité désigne notre capacité à être affecté ou ému par quelque chose, ici par les œuvres d’art. Il s’agit donc non pas seulement de percevoir les œuvres mais aussi de les apprécier que ce soit positivement ou négativement. Si l’histoire de l’art offre des ressources utiles pour comprendre le devenir des formes esthétiques et leur contexte, c’est surtout la fréquentation directe des œuvres qui permets le développement de cette sensibilité. Pareil si tu prends une pièce de lutherie tout le monde n’est pas à même de l’apprécier de la même façon.

Nan excuse moi, j’ai aucune envie de jouer avec toi au petit jeu de la citation (que tu as l’air d’apprécier particulièrement) jusqu’à pas d’heure. Parce que on va par exemple t’apprendre que van gogh a fait des trucs beau, oui mais encore quand tu le vois dans le livre bof…mais vas le voir à amsterdam et tu comprends ce que c’est. Alors on parlerait de rencontre entre un esprit torturé et quelques disciples qui se retrouvent dans son oeuvre, puis à un second plan, d’esthètes friqués ayant assez de pif pour sentir le bon coup . Et depuis, je change de métier tous les trois ans, et toutes les jolies choses qu’on m’a apprises à l’époque reviennent au compte-goutte quand un des métiers exercés en a besoin. Communiquer tu disais, aparment il fallait l évoquer, comme l art ets un moyen de communiquer, un language….. Le rôle de Tata Yoyo (qu’est-c’que t’as sous ton grand chapeau ???,,) dans la vente inespérée de casquettes de rappeurs depuis 15 ans, des conneries comme ça… .

Éduquer sera parler, échanger sur ce que chacun voit, interprète, imagine, ce que l’oeuvre lui fait dire. Cet échange ne se fait pas sous l’oeil sourcilleux d’une règle, mais en pleine liberté.

Citations sur La sensibilité aux œuvres d’art demande-t-elle à être éduquée ? :

Premiers essais de justification de la légitimité du problème posé en s’interrogeant sur ce que peut-être l’ « éducation » de la « sensibilité » aux oeuvres d’art. C’était juste histoire de vous faire partager mon émotion de e matin, puis yavait un rapport avec l art, me suis dit que ca pourrait interesser… Non parce que la sensibilité est pardéfinition incapable de faire l’objet d’une éducation, mais parce que, quand bien même cette éducation seraitpossible, elle serait en elle-même inutile. Le terme « éduquer » vient du latin educare (ex-ducere) et signifie « prendre soin de », et désigne également l’action de « faire croître », « d’élever ».

C’est sociologiquement une exclusion et humainement une perte irréparable. Ils seront, à vie peut-être, privés d’accès aux plus hautes sphères de la production humaine. C’est marrant que dans un même élan, tu parles du Christ qui a eu aussi ses disciples et qui est à l’origine de la plus grosse collection d’art jamais construite et vendue.… Des cathédrales à la Renaissance en passant le Baroque, Bach, Dali, bla bla…. Pas 27, 33, j’approche de la sagesse du christ, dont l’art fut de faire croire qu’il était le fils de dieu et d’une vierge, devait avoir un problème lui aussi… .. Le problème quand on est 4h devant une question, c’est que du couo on s enferme dans son ptit monde et on a du mal a réagir au reste….pas facile,alors qu avec du recul, on se demande pourquoi on ets s y bète….

En effet, je ne dis pas cela me semble beau, mais je dis c’est beau et par là j’en appelle à la liberté, à l’humanité de chacun. Ce « sens commun » fait de moi non seulement un être capable de sentir son unité mais aussi un être capable de sentir son unité avec les autres raisonnables sensiblement affectés, dotés de facultés de représentation capables de ce jeu, capables de cette liberté. Le « sens commun » est appelé ainsi parce qu’il se retrouve en tous.