Le Petit Vieux Des Batignolles Résumé De Chaque Chapitre

Ma profession m’avait familiarisé avec la mort ; depuis longtemps déjà j’avais surmonté les répugnances de l’amphi-théâtre, mais c’était la première fois que je me trouvais en face d’un crime. Excusez-moi, ajouta mon vieux voisin, le devoir avant tout…nous reprendrons notre partie demain. Sans être ni curieux ni défiant – on ne l’est pas à l’âge quej’avais alors – on aime à savoir à quoi s’en tenir sur le comptedes gens avec lesquels on se lie. Lorsque j’achevais mes études pour devenir officier de santé –c’était le bon temps, j’avais vingt-trois ans – je demeurais rue Monsieur-le-Prince, presque au coin de la rue Racine.

Ce qui fait l’objet d’une blague récurrente qu’on se plaît à attendre chaque fois que M. Sans être ni curieux ni défiant – on ne l’est pas à l’âge que j’avais alors – on aime à savoir à quoi s’en tenir sur le compte des gens avec lesquels on se lie. Un soir, il entra chez moi me demander quelques allumettes ; une nuit, je lui empruntai du tabac ; un matin, il nous arriva de sortir en même temps et de marcher côte à côte un bout de chemin en causant… Lorsque j’achevais mes études pour devenir officier de santé – c’était le bon temps, j’avais vingt-trois ans – je demeurais rue Monsieur-le-Prince, presque au coin de la rue Racine. Et là-dessus, le commissaire de police et monsieur Méchinet se retirèrent dans l’embrasure de la fenêtre et s’entretinrent à voix basse, pendant que le juge donnait quelques indications à son greffier. C’est vous, Méchinet, lui dit le commissaire de police, je regrette bien de vous avoir fait déranger.

Aller plus loin était matériellement impossible, tant la rue était obstruée par une foule compacte. Ce digne homme, qui avait le tabac en horreur, était toujours armé d’une tabatière de financier de vaudeville. Il allait, il allait, tout le long de la rue Racine, bousculant les passants, comme si sa fortune eût dépendu de ses jambes. Et tout plein d’une sotte et puérile satisfaction, je trottais comme un chat maigre aux côtés de monsieur Méchinet. Allons, me voilà encore sain et sauf pour cette fois, me ditmonsieur Méchinet.

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Une belle écriture, une énigme qui nous tient la dragée haute, des déductions qui tiennent la route et un gars de la sûreté malin comme un singe. Très heureux de découvrir que Gaboriau est un précurseur du roman à suspense, avant Conan Doyle, et qu’un grand mérite lui revient. Une lecture très agréable qui nous fait passé un bon moment dans le Paris du XIXE siècle. Victor Danègre, domestique de la Comtesse est mis en examen dans l’affaire de l’avenue Hoche. 6- Donnez votre avis sur le roman rédigeant un paragraphe d’au moins 5 lignes.

Le Monde à l’international

La Providence veillait…, ce malheureux vieillard respirait encore… Rassemblant toute son énergie, il a trempé un de ses doigts dans le sang qui s’échappait à flots de sa blessure, et là, sur le parquet, il a écrit avec son sang le nom de son meurtrier, le dénonçant ainsi à la justice humaine… À dater de ce dîner, cependant, nos relations furent plussuivies.

Chapitre 1

Continuer à lire ici Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Claude Chabrol a visiblement pris beaucoup de plaisir à se glisser dans cet univers primesautier et coquin, aux accents populaires généreusement alimentés par une bande-son qui fait la part belle aux morceaux d’opérettes et aux chansons paillardes. Mieux, le réalisateur a sans conteste trouvé, dans ce climat familier ainsi que dans ces personnages bons vivants et blagueurs, le terrain idéal pour exprimer ses propres penchants.

C’est un vieux monsieur aisé, ancien coiffeur, que l’on a poignardé dans son appartement. Traçant le début d’un nom avec son sang, la victime a désigné son assassin. Il s’agit de Monistrol, neveu et héritier du vieux monsieur. D’ailleurs, la concierge l’a vu arriver vers neuf heures et repartir à minuit. Pourtant, Godeuil remarque que la victime a écrit ces signes de la main gauche, ce qui parait improbable.

En outre, l’étudiant diagnostique une mort immédiate du poignardé. Un petit vieux, Pigoreau, est assassiné ; il a eu le temps d’écrire le nom de son tueur avec son sang. Une intrigue de prime abord simple, mais en bons enquêteurs, Méchinet et Godeuil sauront voir au-delà des apparences et attraper le véritable coupable. Et les bases du roman policier moderne sont posées (et il y a même l’élément scientifique avec le médecin Godeuil !). Monsieur Godeuil, jeune étudiant en médecine, à pour voisin de palier Monsieur Méchinet. Ce dernier sort souvent tôt le matin ou tard le soir et un jour il frappe à sa porte en ayant une blessure au visage partant de l’oreille jusqu’à la bouche.

Rarement une semaine s’écoulait sans qu’il m’emmenât manger sa soupe, selon son expression, et presque tous les jours, au moment de l’absinthe, il venait me rejoindre au café Leroy, et nous faisions une partie de dominos. Encore qu’il y eût eu une grande effusion de sang, la blessure était légère… Ce n’était, à vrai dire, qu’une éraflure superficielle partant de l’oreille gauche et s’arrêtant à la commissure des lèvres. À peine avais-je prononcé le nom de Méchinet qu’il m’envoya promener de la belle façon, me disant, en roulant de gros yeux, qu’il n’était pas dans ses habitudes de « moucharder » ses locataires.

Nous avons ici l’ambiance parisienne de l’époque et une intrigue fort habile, avec toutes les hypothèses nous venant à l’esprit. Lire “Le petit vieux des Batignolles”, ce n’est pas seulement compléter sa culture-polar, c’est surtout une vrai plaisir. Qui a tué le petit vieux des Batignolles, M. Pigoreau, ancien coiffeur de belle renommée ? Même si la victime a eu le temps, avant de mourir, d’inscrire de sa main ensanglantée le nom de son assassin sur le parquet, l’affaire n’est pas aussi simple que le laissent supposer les indices et les aveux du soi-disant coupable.

J’avais certes préféré L’affaire Lerouge roman plus conséquent en terme de pages mais celui-ci est encore bien réussi. Alors que le monstre n’était pas venu le dévorer, mais tout simplement de lui donner une perle rare. Ilaurait pu profiter de sa vie mais non, il a été trop curieux et il a passé toute ça vit à essayer de fuir se monstre… Stefano est mort sur une barque entrain de tenir cette perle qui, plus tard devientun simple galet. Cette nouvelle m’a plus car il y avait, au début de l’histoire cette petite boule noire qui surgit et qui nage dans l’eau, on apprend ensuite que c’est un monstre qui dévore et…. Arsène Lupin utilise ensuite les preuves qu’il a conservées pour faire chanter le domestique et l’obliger à lui donner la perle.