Ne Demande Pas Ce Que Ton Pays Peut Faire Pour Toi Demande Ce Que Tu Peux Faire Pour Ton Pays

Depuis la fondation de notre nation, chaque génération d’Américains a dû témoigner de sa loyauté envers notre pays. Les jeunes Américains qui ont répondu à cet appel reposent dans le monde entier. Depuis la fondation de notre nation, chaque génération d’Américains a dû témoigner de sa loyauté envers notre pays. Les 16 et 17 janvier 1961, dans la résidence de vacances de la famille Kennedy à Palm Beach, en Floride, Sorensen et JFK perfectionnèrent la version presque finale du discours d’investiture et la tapèrent même sur papier carbone. Le 17, ils retournèrent ensemble à Washington à bord de l’avion privé de Kennedy, le Caroline, avec le correspondant du Time Hugh Sidey, dont les reportages sur le président oscillait entre candeur et hagiographie. À nos vieux alliés, dont nous partageons les origines culturelles et spirituelles, nous promettons la loyauté des amis fidèles.

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Que les deux camps s’unissent pour honorer, aux quatre coins de la terre, le commandement d’Isaïe de « soulager les lourds fardeaux, et de libérer les opprimés ». Que les deux camps cherchent à tirer parti des merveilles de la science plutôt que de ses abominations. Ensemble, découvrons les étoiles, conquérons le désert, éradiquons la maladie, explorons les profondeurs des océans et encourageons les arts et le commerce. Que les deux camps se souviennent que la civilité n’est pas synonyme de faiblesse, et que la sincérité reste toujours à prouver. Ce n’est que lorsque nos armes seront sans aucun doute suffisantes que nous serons absolument certains que nous ne les emploierons pas. Si une société libre ne peut pas aider la multitude de personnes vivant dans la pauvreté, elle ne peut pas sauver la minorité de personnes plus aisées.

Demande

› Figaroscope › Citations › John Fitzgerald Kennedy – Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays. Kennedy estimait que son discours d’investiture devait «donner le ton d’une époque sur le point de commencer», d’une ère dans laquelle il imaginait que la politique étrangère et les problèmes internationaux —dont le spectre de l’anéantissement nucléaire ne serait pas des moindres— seraient sa principale préoccupation. Mais bien que Sorensen ait pu être la seule personne capable de donner une voix aux idées de Kennedy, le discours à venir était trop historique pour n’être confié qu’à un seul homme. Ans mon imagination d’enfant, John F. Kennedy se plaçait quelque part entre le joueur de baseball Joe DiMaggio et De Niro dans un classement des plus approximatifs des divinités américaines modernes.

À ces jeunes États que nous accueillons parmi les États libres, nous promettons que la domination coloniale n’a pas été abolie simplement pour être remplacée par une tyrannie plus féroce. Nous ne nous attendons pas à ce qu’ils soutiennent toujours notre point de vue. Mais nous espérons qu’ils défendront avec force leur propre liberté et qu’ils se rappelleront que, par le passé, ceux qui ont bêtement cherché à triompher aux dépens des autres s’y sont brûlé les ailes. Après avoir prêté serment, le tout nouveau président des États-Unis John Fitzgerald Kennedy prononce son discours d’investiture. 5 – En 1985 (?), j’ai rédigé le discours des Guinéens de l’’Extérieur en vacances à Conakry, à la suite de quoi le Général Lansana Conté a ouvert le gouvernement à la Diaspora (Edouard Benjamin, Bana Sidibé et moi-même comme simple Directeur National de la Culture, renonçant ainsi à mon statut privilégié de coopérant). Je suppose que le texte manuscrit, ânonné à sa demande, par le Doyen Barry Bachir, était suffisamment convainquant, pour prétendre avoir contribué à cette ouverture à ces «anti-Guinéens» jusqu’alors, au risque de «nous mélanger» par la suie (Lansana Conté).

Non seulement Kennedy était bien plus avancé que cela, mais lui et Sorensen avaient déjà finalisé ce que nous savons être l’avant-dernière version du discours. Pire encore, plus tard Kennedy recopia à la main six ou sept autres pages —directement, peut-on penser, à partir de la version tapée à la machine— et les data du «17 janvier 1961». Après son assassinat, ces pages furent exposées dans ce qui deviendrait sa bibliothèque présidentielle et présentées comme l’un de ses premiers brouillons.

Cette notion ne se limite pas à ce qu’un pays peut faire pour un autre. Elle est considérée comme 1 citation de longueur normale. Vous avez inventé une citation et souhaitez la publier sur le site ? Nous vous proposons de créer votre propre citation directement en ligne. Vous pourrez ensuite télécharger l’image de votre phrase pour la publier sur les réseaux sociaux (Facebook, Pinterest, Twitter…).

À nos républiques sœurs au sud de nos frontières, nous faisons une promesse particulière, celle de convertir nos bonnes paroles en bonnes actions, dans le cadre d’une nouvelle alliance pour le progrès, afin d’aider les hommes libres et les gouvernements libres à s’affranchir de la pauvreté. Mais cette révolution pacifique fondée sur l’espoir ne peut pas devenir la proie de puissances hostiles. Que tous nos voisins sachent que nous nous unirons à eux pour faire face, ensemble, à toute agression ou subversion sur l’ensemble du continent américain. Que toutes les autres puissances sachent que cet hémisphère entend rester maître en sa demeure.

5- «Dépossession» écrit et mis en scène par votre serviteur, a représenté toute la Diaspora noire de l’Europe, au FESTAC de Lagos en 1977. Cet événement a été l’occasion d’une réconciliation entre Guinéens venus de Guinée et «Anti-guinéens». Les autorités guinéennes avaient interdit à la nombreuse délégation d’artistes guinéens venus du pays, de rencontrer leurs frères venus des pays «impérialistes».

«Ne demande pas ce que l’Amérique peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays.» (John Fitzgerald Kennedy)

La Diaspora est à l’image de la Guinée interne, il y prospèrent des racines qui pourrissent la cohésion nationale ; après tout, dans diaspora il y a… «diaspourris», des thuriféraires de toutes les dictatures qui se sont succédé depuis 63 ans, patriotes de la 25ème heure. Mon espoir, celui de millions de «Damnés de la terre» que sont devenus les Guinéennes et les Guinéens, je déclinerai cet espoir en quelques moments et faits saillants, dont j’ai été témoin et ou acteur. En disant «je», c’est en tant que représentant de la «cinquième» région de Guinée, les Guinéens de l’Extérieur. Après quinze ans et neuf mois, voire 63 ans de descente aux enfers sur tous les plans, politique, économique, sanitaire, etc., vous êtes en train de nous sortir de La Boîte de Pandore, DU PIRE.

Analyse de la phrase

Alors que je n’étais encore qu’un bambin, feu le président m’avait laissé une impression durable, littéralement, après que j’avais fait tomber une reproduction en terre cuite de l’emblématique sculpture de Robert Berks —beaucoup moins lourde, heureusement, que l’original de près d’une tonne et demie— du haut du buffet, directement sur ma tête. DictionnaireRecherchez des traductions de mots et de phrases dans des dictionnaires bilingues, fiables et exhaustifs et parcourez des milliards de traductions en ligne. Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays. Kennedy a commencé à recueillir les idées de son discours d’investiture à la fin novembre 1960, sollicitant des suggestions auprès d’amis, collaborateurs et conseillers, y compris de membres du clergé pour d’éventuelles citations bibliques.

Cet article est une ébauche concernant la politique et les États-Unis. Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. C’est entre vos mains, mes chers concitoyens, plus que dans les miennes, que reposera le succès ou l’échec final de notre entreprise. Que les deux camps, pour la première fois, formulent des propositions sérieuses et précises concernant l’inspection et le contrôle des armements, et placent le pouvoir absolu de détruire d’autres nations sous le contrôle absolu de toutes les nations. Nous ne saurions oublier aujourd’hui que nous sommes les héritiers de cette première révolution.

Je ne recule pas devant cette responsabilité, je m’en réjouis. Je crois qu’aucun d’entre ne voudrait échanger sa place contre celle d’un autre ou de n’importe quelle autre génération. L’énergie, la foi et le dévouement dont nous faisons preuve dans cette entreprise éclaireront notre pays et tous ceux qui le servent, et cette lueur peut réellement se diffuser au monde entier.