La régulation doit aussi être repensée et étendue à la sphère de la banque de l’ombre, cause principale de la crise de 2008. Enfin, de nombreux gouvernements, même ceux des pays émergents, ne peuvent être accusés pour certaines crises. C’est le cas de l’Argentine ou du Mexique, qui avaient entrepris de nombreuses réformes de leurs systèmes vers la libéralisation, l’ouverture et la déréglementation. De même, lors des crises asiatiques, Krugman montre la diversité des options qui s’offraient aux gouvernements selon l’interlocuteur pour répondre à une chute de leur monnaie. En fin de compte, « ce qui est sûr, c’est qu’il n’existait pas de bons choix. Il semblait bien que les règles du système financier international n’offraient aucune issue à de nombreux pays ».
« Ce que tu redoutes n’arrivera pas, il arrivera pire. » Introduction Résumé de présentation Hugo à 14 ans, il vient de terminer l’école et s’apprête à partir en vacances à Altanta. Mais quelques jours avant, il entend des histoires bizarres à la radio. Il ne voulait pas gâcher ses vacances pour quelques histoires bizarres mais arriver là-bas il se rend compte que ce n’est pas une simple histoire… Intérêt du lecteur Les lecteurs qui aiment avoir dans les récits des apocalypses…. Fiche de lecture de l’ouvrage d’économie de Paul Krugman Pourquoi les crises reviennent toujours. L’auteur montre que les crises et les cycles n’ont jamais été apprivoisés, sinon renforcés par les mêmes qui croyaient les maîtriser. Dans les crises qui ont touché l’Amérique latine, ils retinrent que la crise tequila n’eut qu’un faible impact mondial et que Washington et ses institutions avaient su maîtriser la situation.
Celle de 2008 a mené le système financier au bord de l’effondrement et provoque à présent une récession dans les économies capitalistes. Pourquoi ces catastrophes que l’on croyait révolues reviennent toujours? Krugman, dans le style limpide qui a fait sa renommée mondiale, nous explique les ressorts de cette fatalité et comment lui échapper. Pimido, c’est 20 ans d’expérience dans la rédaction, l’optimisation, l’achat et la vente en ligne de documents. Pensée par des étudiants, la plateforme Pimido utilise des outils de détection anti-plagiat pointus, permettant l’analyse et l’optimisation de contenu rédigé par des étudiants ou des professionnels. ‘Pourquoi les crises reviennent toujours’ est un ouvrage profondément lié à la conjoncture économique de la fin du 20ème siècle.
Paul Krugman, « Pourquoi les crises reviennent toujours »
Le livre se concentre sur le retour des crises économiques à la fin du 20ème siècle et leurs parallèles avec la Grande Dépression des années 1930. Par les crises, il désigne généralement les crises financières nationales où la valeur d’une monnaie ou les stocks de nombreuses sociétés établies dans ce pays rapidement diminuent. Le titre se réfère également à des principes clés du livre est que le cycle de hauts et bas dans une économie ne peut être cassé et ainsi, reviennent toujours. Le livre «Pourquoi les crises reviennent toujours» est difficile à résumer car il relate, en détail, les mécanismes qui sont à l’origine des principales crises économiques, depuis les années 1930. L’auteur met en lumière, pour chacune d’elles, l’impuissance des gouvernants, parfois leur inertie et généralement leur incapacité à choisir les décisions appropriées.
Il démontre l’insuffisance des explications par les mauvaises pratiques et les erreurs de gestion d’un système qui resterait en lui-même incontestable. « Mais, dans le débat de politique économique du monde anglo-saxon, l’histoire de Soros et de la livre n’a pas été considérée comme un présage inquiétant. Document à saisir sur Word, j’aimerai avoir la possibilité de le modifier pour y rajouter mon nom et mes informations sur mon parcours universitaire, j’utilise un MacBook donc y tenir compte et me permettre de le modifier de mon ordinateur.
Le Monde d’Aquilon : la fantasy en grand
–Arnaud Stephanopoli –Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre. Revue de presse La mémoire courte L’économie aurait-elle la mémoire courte ? Les crises qu’elle subit ont souvent les mêmes causes et les mêmes effets, connus, analysés…. Pour relancer l’économie, il faut «faire repartir le crédit et soutenir les dépenses», selon l’auteur. Il faut alors injecter des capitaux pour rétablir les banques, mais les 700 milliards de dollars du plan américain sont insuffisants pour sauver le système entier (avec celui de l’ombre). C’est presque une nationalisation qui devrait être opérée pour privatiser à nouveau dans quelques années.
Les idées doivent primer sur les doctrines et les dogmes, qui ont enfermé l’analyse économique et accéléré les crises et les récessions. L’action du FMI en Asie après 1997 est vivement critiquée par l’auteur, en cela qu’elle a empiré la crise. En effet, en demandant à ces pays de pratiquer l’austérité budgétaire pour redonner confiance aux marchés et freiner la fuite des capitaux, l’austérité a aggravé l’activité économique de ces pays, favorisant donc la fuite des capitaux.
En portant un regards sur la société actuelle, nous pouvons clairement y voir un système capitaliste où chacun d’entre nous est pousser à consommer toujours davantage. Nous prônons l’égalité ici et là, mais nous ne remarquons pas notre monde soumit à d’importantes pénuries et qui est en train de s’effondrer. L’argent est de plus en plus présente dans les poches des plus riches alors que les pauvres pour leurs part s’appauvrissent encore un peu plus.
Résumé
En 1929, l’une des plus graves crises économiques a frappé le monde et le capitalisme. Dans les décennies qui ont suivi, économistes et dirigeants ont cru que les crises avaient été vaincues, grâce à des réponses mieux adaptées et à une meilleure science économique. Pourtant, des crises ont frappé l’Asie et l’Amérique latine dans les années 1990, et surtout en 2008. Durant quelques décennies, tirant les leçons de la Dépression des années 1930, on avait mis en place des institutions et des politiques économiques qui avaient fait disparaître les crises récurrentes du capitalisme. Évitant les analyses théoriques, l’auteur adopte un langage courant et fait régulièrement le parallèle avec l’exemple d’une petite crèche associative qui rencontre des problèmes d’offre, de demande et de liquidité.
Le Mexique, le Japon, la Thaïlande, l’Argentine, la Corée du Sud, tous ces pays ont connu une crise financière, bien qu’ils n’aient que peu de ressemblance au niveau économique. Les crises ont été dévastatrices et ont remis en question le système, qui pour certains pays était très libéralisé et ouvert après des années de réforme ou qui s’apparentait aux économies développées . Les économistes ont tiré les mauvaises leçons de ces crises. Pour Krugman, le monde est dans l’économie de la dépression. Le problème intellectuel réside dans le fait que l’analyse économique de la demande est devenue caduque face à celle de l’offre, qui empêche de comprendre la crise et de trouver de véritables remèdes.
La famille monte à Paris, où Grandjean meurt peu après son arrivée. Veuve d’un homme qu’elle n’a jamais vraiment aimé, Hélène est prise d’une passion violente pour le docteur Deberle, son voisin qui l’a secourue lors d’une des crises de sa fille. Le régime soviétique est considéré comme une entreprise ruinée, d’après l’auteur, l’émergence des pays capitalistes d’Asie, a porté un coup au régime soviétique de façon subtile et profonde. La guerre en Afghanistan contribua à cet effondrement, ainsi que l’incapacité de l’industrie soviétique à rivaliser avec la course aux armements de Ronald Reagan.