Fuir, se cacher, la peur omniprésente…et aussi, malgré tout, quelques moments de bonheur…tout cela vécu et vu par des yeux d’enfant, ce qui rend le récit encore plus prenant et touchant. Reproduction, copie et utilisation interdite en dehors de ce site. Javascript doit être activé dans votre navigateur pour utiliser toutes les fonctionnalités de ce site.
Ce récit jeunesse nous fait suivre Anna, neuf ans, vivant en Allemagne avec ses parents et son frère Max. En 1933, avec la montée du nazisme en Allemagne, cette famille juive décide de partir de leur pays ; à travers le point de vue d’Anna, nous suivons alors leur périple en tant que réfugiés… Elle a neuf ans et ne s’occupe guère que de crayons de couleur, de visites au zoo avec son « oncle » Julius et de glissades dans la neige. Judith Kerr est née en 1923 dans une famille juive, à Berlin.
Il est journaliste et a entendu dire qu’il allait être arrêté à cause de ses articles politiques. Peu après, la famille le suit et se réfugie à Zurich, en Suisse, d’autant plus que Hitler vient de remporter les élections et qu’il est anti Juifs. Ils vivent dans une auberge tenue par les Zwirn avant de fuir cette fois pour Paris car son père est toujours recherché. Anna et Max vont devoir apprendre le français et aller à l’école. Malgré leur précarité et les ressources financières de la famille en baisse, Anna et Max sont heureux de cette nouvelle vie mais une nouvelle fois, la famille doit déménager pour l’Angleterre à cause de la guerre qui se rapproche.
J’ai vraiment aimé la façon dont l’auteur nous fait comprendre d’un certain point de vue l’histoire des juifs. Les personnages sont intéressants, leur réaction face à l’arrivée d’Hitler est malheureuse. Au cours de ma lecture, j’ai compris que cette famille est vraiment passionnante et très sympathique.
Découvrez tout notre univers livres dans 19 magasins en France. C’est un roman à caractère autobiographique en effet, la biographie de l’auteur l’atteste, mais la narratrice est Anna, elle n’est pas l’auteure Judith Kerr. Belle histoire d’une famille persécuté…. Qui ont su toujours prendre les bonnes décisions..
Masse Critique Mauvais Genres : sur la piste des bons livres
D’abord Zurich, puis Paris, et enfin Londres. Elle épouse l’écrivain Nigel Kneale et travaille comme scénariste à la BBC jusqu’à la naissance de leurs enfants. C’est sa fille qui lui inspire en 1968 son grand classique, The Tiger Who Came to Tea (10 millions d’ex. vendus dans le monde).
Alors commence la vie dure – mais non sans surprises – de réfugiés. Elle a neuf ans et ne s’occupe guère que de crayons de couleur, de visites au zoo avec son » oncle » Julius et de glissades dans la neige. Est un bon roman jeunesse, idéal pour une mise en matière et pour appréhender la Seconde Guerre Mondiale et toutes ses conséquences pour un jeune public. En effet, la guerre n’est véritablement pas au centre de ce roman, le sujet n’étant qu’effleurer.
Cette histoire, c’est celle de Judith Kerr. Elle signe avec Quand Hitler s’empara du lapin rose un roman autobiographique bouleversant, précieux témoignage de l’exil et de la montée du nazisme à travers les yeux d’une enfant. Classique incontournable de la littérature anglaise, Quand Hitler s’empara du lapin rose raconte l’histoire d’Anna, une jeune allemande de neuf ans, qui vit à Berlin avec ses parents et son grand frère Max. Elle aime dessiner, écrire des poèmes, les visites au zoo avec son oncle Julius. Classique incontournable de la littérature anglaise,Quand Hitler s’empara du lapin roseraconte l’histoire d’Anna, une jeune allemande de neuf ans, qui vit à Berlin avec ses parents et son grand frère Max. Anna, 9 ans, son frère Max et leurs deux parents d’origine juive vivent tranquillement à Berlin quand leur père doit partir précipitamment pour Prague.
Les derniers avis de lecture
Comment ne pas tomber amoureux de cette famille… Coté technique, c’est un sans faute également, la photographie est très immersive, très belle, et les musiques somptueuses. La Carte OCCAZ’ donne droit à une réduction de 20% du prix de vente TTC sur les livres d’occasion identifiés par ce picto.
Ils vont y rester environ deux ans mais le travail vient à nouveau à manquer. Les enfants, qui ont poursuivi leurs études en France, ont appris à parler français. Leur père, n’ayant plus d’article à écrire, envoie un scenario de film à plusieurs metteurs en scène, mais tous le refusent. Un jour pourtant, une lettre arrive d’Angleterre, lui annonçant qu’un metteur en scène anglais lui achète son scenario.
Ce qu’elle ressent nous permet de comprendre le contexte historique de l’avant deuxième Guerre Mondiale, et de nous faire prendre conscience du choc des cultures que tout exilé peut appréhender. Qui s’appelle Anna et de sa famille peu avant l’élection d’Hitler. Le père d’Anna,qui est journaliste, écrit des critiques sur Hitler et lorsque celui-ci est sur le point d’être élu, il se réfugie en Suisse, où sa femme et ses enfants, Anna et Max, le rejoignent peu de temps après. Faute de travail en Suisse, il fait un voyage à Paris où un journal lui propose du travail. La famille déménage donc une nouvelle fois, à Paris.
J’ai beaucoup aimé ce livre car c’est un roman autobiographique de l’auteur, une histoire vraie. Elle nous montre la vie dure des réfugiés allemands sous le régime nazi. Poussée par ma petite-fille de 12 ans qui venait de lire ce roman jeunesse, je me suis lancée dans sa lecture et ne l’ai pas regretté un seul instant. Ce roman lui ayant bien plu, elle voulait connaître mon avis. Les thèmes abordés sont l’arrivée au pouvoir d’Hitler et ses idées, l’exil de certaines familles juives.