Résumé Du Chapitre 4 De La Ferme Des Animaux

Trois autres chevaux sont brièvement mentionnés. Ils sont achetés par la ferme à la fin du roman et bien qu’ils soient de bons compagnons, ils sont bornés et ne savent pas lire. Les jeunes cochons – Quatre cochons qui se plaignent de la mainmise de Napoléon sur la ferme. Référence aux exécutions pendant la période des Grandes Purges de Grigori Zinoviev, Lev Kamenev, Nikolaï Boukharine et Alexeï Rykov. Aucun animal ne tuera un autre animal sans raison valable.

résumé du chapitre 4 de la ferme des animaux

Napoléon annule ensuite les réunions et les débats et fait savoir que désormais toute question sera débattue par un comité de cochons. Une dictature se met peu à peu en place, mais se heurte bien évidemment aux sept commandements de l’Animalisme. Les cochons y opèrent donc de subtiles modifications et convainquent les autres animaux que leur mémoire leur joue des tours. Plusieurs semaines plus tard, Boule de neige a l’idée de créer un moulin à vent pour générer de l’électricité et alléger le travail des animaux. Napoléon est formellement contre ce projet qu’il trouve inutile et tente d’en convaincre les animaux lors d’un débat.

Chapitre 10 et fin du résumé de la ferme des animaux

Le vieux fermier est réveillé par tout ce bruit et sort sa carabine. Il tire un coup en direction de la grange. Effrayés, les animaux retournent dans leur habitat respectif et s’endorment.

Les animaux de la ferme sont très inquiets mais sont obligés d’accepter. C’est Monsieur Whymper qui fait affaire avec eux. Les autres animaux résolvent le mystère du lait. Ce sont les cochons qui le mangent un peu chaque jours.

C’est ce qu’avait escompté Boule de Neige. Dès que les hommes se furent bien avancés dans la cour, à ce moment surgis­sent de l’arrière les trois chevaux, les trois vaches et le gros des cochons, jusque-là demeurés en embuscade dans l’étable. Les humains, pris à revers, voient leur retraite coupée.

Les Mémoires d’Hadrien : Résumé

Le livre raconte cette période importante de manière à ce que les jeunes sachent ce qu’il s’est passé tout en ménageant les plus jeunes. Une version en bande dessinée, signée par Rafick Gulbul, nommée en créole mauricien Repiblik Zanimo et parue entre novembre 1974 et le 1er avril 1975 a été la première bande dessinée en créole des Mascareignes. Elle y est sortie dans un contexte d’élection de l’île Maurice. Elle est en fait une œuvre de propagande, éditée dans le journal Libération du parti de l’Union démocratique mauricienne ; c’est une critique envers son opposant, le Mouvement militant mauricien de gauche. D’après Andrew Defty, dès 1951, la bande dessinée fut publiée par épisodes dans des journaux, en Inde, Birmanie, Thaïlande, Venezuela et Erythrée. L’homme est donc extrêmement méfiant vis-à vis des thèses staliniennes et du Mouvement communiste international qui est inféodé à l’URSS, à cette époque.

Voyant cela, plusieurs hommes lâchent leur gourdin et tentent de fuir. Tous les animaux le prennent en chasse, le traquent autour de la cour, l’assaillent du sabot et de la corne, culbutant, piétinant les hommes. Et pas un animal qui, à sa façon, ne tienne sa revanche, et même la chatte s’y met. Bondissant du toit tout à trac sur les épaules d’un vacher, elle lui enfonce les griffes dans le cou, ce qui lui arrache des hurlements. Mais, à un moment, sachant la voie libre, les hommes filent hors de la cour, puis s’enfuient sur la route, trop heureux d’en être quittes à bon compte.

En fait, l’homme n’est pas leur allié mais bel et bien leur ennemi. Par conséquent, il faut l’éliminer avant que ce soit lui qui tue les animaux. Le cochon Sage l’Ancien prône également le fait que tous les animaux sont égaux. En ce sens, leur union pour parvenir à leurs fins est indispensable. Le thème du récit est celui de la révolte des animaux d’une ferme contre leur maître, leur tyran, suivie d’une évolution qui les conduira à un retour à la situation initiale. Mais au-delà, il faut y voir une représentation métaphorique du mythe soviétique, comportant de nombreuses références politiques.

L’hymne révolutionnaire de la ferme des animaux finit par se répandre dans les fermes des environs par le biais des oiseaux. Les humains s’inquiètent de cette épidémie contestataire. Pour éviter que cela se reproduise chez eux, ils mentent à leur animaux en prétendant que ceux de la ferme se gèrent mal et ont même recours au cannibalisme. Cependant, les animaux de la ferme ne tardent pas à montrer qu’ils se portent bien. Les humains sont pointés du doigt, ce sont eux les ennemis et une fois la ferme privée de ses oppresseurs, les animaux décident de vivre selon sept principes pacifiques. La révolution se répand dans les fermes voisines, les hommes tentent alors de récupérer leur ferme mais sont finalement vaincus par les animaux, bien organisés.

En anglais) – Un verrat âgé (de race Middle White) qui suscite la rébellion. Il est une combinaison de Karl Marx et de Lénine, en ce sens que c’est ce personnage qui imagine les principes de la révolution et que sa dépouille sera offerte à la vénération du public. Une très forte tempête s’abat sur la ferme.

Benjamin, l’âne, pouvait lire aussi bien que, n’importe quel cochon, mais jamais il n’exerçait ses dons. « Que je sache, disait-il, il n’y a rien qui vaille la peine d’être lu. » Douce apprit toutes ses lettres, mais la science des mots lui échappait. Malabar n’allait pas au delà de la lettre D.

Les animaux se laissent berner alors que l’écart de niveau de vie continue de se creuser entre eux et les cochons. Un banquet célèbre une belle rentrée d’argent. C’est en réalité la vente de Malabar à l’équarrisseur.