Vous Montrerez Que Les Variations De La Demande Globale Sont Un Facteur Important Des Fluctuations

UEM, monnaie unique, euro, grand marché, intégration économique, coordination des politiques macroéconomiques, interdépendance économique. Vous montrerez que différents mécanismes sont à l’origine des crises économiques. Mobilité sociale intra / inter générationnelle, mobilité observée, mobilité verticale & horizontale, fluidité sociale, déclassement, capital culturel, paradoxe d’Anderson, table de monbilité sociale (destinée & recrutement), reproduction sociale, structure socioprofessionnelle des PCS. Parvenir à distinguer l’effet strict des variations premières de la demande est donc illusoire, puisque ces mécanismes économiques sont interdépendants, et mettent en jeu à la fois la sphère réelle et la sphère financière. Pour produire plus, les chefs d’entreprises doivent accroître leurs capacités de production, c’est-à-dire embaucher et investir. Or ces opérations de recrutement et d’investissement prennent du temps.

Elle est composée de la demande finale des ménages, des administrations publiques et des institutions sans but lucratif au service des ménages ainsi que de la formation brute de capital fixe , de la variation de stocks et des exportations. Après avoir été analysé que les variations des consommations finales des agents économiques provoquent des variations de l’activité économique, il sera évoqué que les variations de la FBCF mais également des échanges extérieurs entraînent des fluctuations économiques. Fluctuations économiques, crise, choc d’offre, choc de demande, cycle du crédit, désinflation, déflation, dépression, chômage de masse, demande globale.

vous montrerez que les variations de la demande globale sont un facteur important des fluctuations

On analysera les mécanismes cumulatifs susceptibles d’engendrer déflation et dépression économique et leurs conséquences sur le chômage de masse. Les variations de la demande expliquent directement une partie des fluctuations économiques, par leurs effets expansionnistes ou récessionnistes. Cependant, d’autres éléments doivent être pris en compte, comme des chocs extérieurs liés au renchérissement du coût des matières premières ou à des crises financières. En retour, les fluctuations économiques ont un impact sur la demande car elles affectent le pouvoir d’achat des agents économiques, celui-ci déterminant leur capacité à dépenser. La réduction de l’effort d’investissement des entreprises, avec une baisse de la FBCF de 8,8 à 15,2 % en 2009 , se traduit par une forte diminution du taux de croissance du PIB pour les quatre pays des documents 2 et 3, avec des chutes de 3 à 5,5 % en 2009.

I. Les variations de la demande globale sont à l’origine des fluctuations économiques

Le nom Brent désigne un gisement pétrolier de la mer du Nord, mais c’est également une qualité de pétrole dont le prix détermine celui d’environ 60 % des pétroles extraits dans le monde. Les résultats étant arrondis, il se peut que la variation du PIB diffère légèrement de la somme des différentes contributions.

Leur croissance baisse nettement en 2011 et en 2012, sauf en Allemagne. La variation est même négative en 2012, surtout en Espagne ainsi qu’en Italie. Un accroissement de la demande globale peut alors entraîner une phase d’expansion économique. Salaire, marché, productivité, marché, prix d’équilibre, demande globale.

L’accroissement de la demande intérieure provoque donc un effet multiplicateur positif sur la croissance économique. Les fluctuations économiques désignent les variations à court terme de l’activité économique, mesurées par le taux de variation du produit intérieur brut en volume. La demande globale comprend la demande intérieure et la demande extérieure.

Conflictualité, cohésion sociale, changement social, conflits sociaux / conflits sociétaux, mouvements sociaux, régulation des conflits, syndicat, action collective (répertoire d’). En effet, lorsque la croissance est forte dans un pays, celui-ci importe davantage , ce qui accroît les débouchés pour les autres. Inversement quand le PIB d’un pays diminue, celui-ci importe moins, ce qui limite sa propre récession (en France en 2009 les importations ont exceptionnellement contribué positivement à la croissance), mais ralentit la croissance dans les autres en les privant de débouchés.

Vous Montrez En Quoi Les Variations De La Demande Globale Peuvent Expliquer Les Fluctuations économiques ?

C’est en janvier 2013 qu’a débuté le scandale de la « viande de cheval ». En effet, ce scandale alimentaire a provoqué une diminution considérable de la demande globale sur le marché des plats préparés, et a ensuite eu un impact sur la croissance économique, caractérisé comme étant un processus instable et non irrégulier. Le PIB augmente alors de manière non linéaire et connait des phases de fluctuations, c’est-à-dire des mouvements de hausse ou de baisse de l’activité économique. Ces fluctuations peuvent s’expliquer par des variations de la demande globale, ensemble des achats de biens et services effectués auprès de producteurs d’un pays, de l’offre globale mais également par le cycle du crédit.

Le cycle du crédit est une théorie qui explique que les fluctuations économiques sont accentuées par le rôle du crédit (et le marché des fonds prêtables). Il en résulte un accès au crédit plus difficile et plus coûteux pour les agents économiques. Dans la zone euro, la hausse des crédits accordés aux ménages connaît une baisse de plus d’un point de pourcentage environ entre 2009 et 2012 .

La consommation des ménages est le principal « moteur de la croissance ». Par exemple, en 2005, sur 1,8 % de croissance du PIB, 1,7 % étaient tirés par l’augmentation de la consommation des ménages (doc. 1). Du fait d’une hausse des importations plus élevée que celle des exportations, même si celles-ci ont pu être favorisées par la reprise de l’activité dans les autres pays . En éducation, les Sciences économiques et sociales sont un sport de combat.

II. D’autres facteurs explicatifs des fluctuations doivent être pris en compte

Les dépenses de consommation finale des administrations publiques jouent contraire un rôle stabilisateur « contra-cyclique » qui limite les fluctuations de la croissance. Les pouvoirs publics peuvent en effet maintenir ou augmenter leurs dépenses en période de récession (ce qui suppose généralement un creusement du déficit public) pour compenser la faiblesse de la demande privée. Ainsi (doc. 1) en 2009, la consommation finale des administrations publiques est la seule composante de la demande dont l’effet sur la croissance a été accru par rapport à 2008 (de +0,3 % en 2008 à + 0,6 % en 2009). La formulation du sujet incite à penser que d’autres facteurs que la demande globale peuvent expliquer les fluctuations économiques.

Lorsque l’économie rentre en récession, la richesse créée progresse moins vite (début des années 2000 sur le document 1), voire diminue . Les revenus primaires sont alors réduits, et en dépit des dépenses de redistribution des richesses, le revenu disponible des ménages perdant leur emploi diminue également. Les ménages confrontés à une baisse de leur pouvoir d’achat, sont amenés à renoncer à un certain nombre de projets, ce qui contracte la consommation par mimétisme, les ménages non touchés directement développent une épargne de précaution. Les économies nationales étant interdépendantes, les exportations contribuent à la croissance, en tant que demande extérieure. Dans le document 1, leurs effets peuvent être dynamiques comme en 2004, où la croissance plus soutenue du PIB (+ 2,5 %) correspond à une contribution des exportations qui passe de 0,7 point en 2005 à 1,4 point en 2006. De même en 2010, où la contribution des exportations à hauteur de 2,3 points (contre – 3,3 en 2009) entraîne une croissance plus forte du PIB (1,7 %).