Voyage Au Centre De La Terre Chapitre 35 Analyse

Siècle, beaucoup d’écrivains s’inspirent des nouvelles théories scientifiques, notamment à propos de l’évolution des espèces et de l’hérédité afin de tenter d’expliquer la société. Balzac, dans l’avant-propos deLa Comédie humaine, explique qu’il s’inspire de la zoologie et Zola emprunte sa méthode d’écrivain à la médecine expérimentale et promeut une démarche scientifique fondée sur des observations concrètes. Mon oncle, répondis-je, non moins stupéfait. J’allai donc prendre sur le radeau ma place accoutumée, quand mon oncle m’arrêta de la main. J’eus beau faire, supplier, m’emporter, je me heurtai à une volonté plus dure que le granit. Debout sur le rocher, irrité, menaçant, Otto Lidenbrock, pareil au farouche Ajax, semblait défier les dieux.

Voyage au centre de la Terre est un roman d’aventures écrit en 1864 par Jules Verne. Il intègre les romans de la série des « Voyages extraordinaires » avec d’autres de ses grandes œuvres. Si Jules Verne aime particulièrement mêler la science à l’imaginaire, c’est dans Voyage au centre de la Terre qu’il semble prendre le plus de libertés scientifiques.

Le professeur l’effraie au plus haut point à cause de son caractère excentrique. Elle alerte toute la ville du départ des deux protagonistes au Centre de la Terre. Il est invisible dans le roman, mais on ressent sa présence. Il montre aux personnages du roman la voie à suivre vers le Centre de la Terre qu’il a atteint au XVIème siècle. Ce grand voyageur est présenté comme un grand alchimiste et naturaliste qui a été martyrisé par ses semblables.

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Entre autres, il retrouvera Odin, Proserpine, etc. Dans ce roman, la science et la fiction ne sont pas incompatibles. En effet, la première partie de l’œuvre est dédiée à la science alors que la seconde touche plutôt au fantastique. — Je sors d’un évanouissement prolongé ; l’orage continue ; les éclairs se déchaînent comme une couvée de serpents lâchée dans l’atmosphère.

Divergence de pensées scientifiques : critique des informations offertes par Jules Vernes

Une fois à Copenhague, Lidenbrock sollicite l’aide de M. Thompson, le directeur du musée des Antiquités du Nord de Copenhague. Ce dernier lui donne de précieuses informations pour son voyage et pour son séjour en Islande. Ils doivent attendre pendant cinq jours le départ du navire qui les emmènera en Islande. Durant le temps d’attente, Lidenbrock oblige Axel à prendre des leçons d’abîme en haut d’un clocher. Ces leçons visent à leur permettre de surmonter leur vertige, vu qu’ils devront descendre des gouffres.

Le professeur dit quelques mots au guide, et aussitôt celui-ci d’embarquer les bagages et de tout disposer pour le départ. L’atmosphère était assez pure et le vent du nord-ouest tenait bon. Son masque effrayant est celui d’un homme antédiluvien, contemporain des ichthyosaures et des megatheriums. Biographie de l’auteur, proposition d’explication linéaire de 22 lignes. Lidenbrock se livre à des préparatifs fiévreux et s’équipe d’un matériel abondant qui correspond au dernier cri technologique de l’époque. Il se procure un dispositif Ruhmkorff pour l’éclairage et un puissant explosif appelé le fulmicoton.

Jules Verne : Voyage au centre de la terre – Lecture linéaire 1 – L’incipit

Cependant, il fallait admettre que cette fissure était actuellement bouchée, car toute cette caverne, ou mieux, cet immense réservoir, se fût rempli dans un temps assez court. Peut-être même cette eau, ayant eu à lutter contre des feux souterrains, s’était-elle vaporisée en partie. De là l’explication des nuages suspendus sur notre tête et le dégagement de cette électricité qui créait des tempêtes à l’intérieur du massif terrestre. Proposition d’analyse linéaire avec le texte extrait du chapitre 6. Contractualisation, problématique et analyse. Les voici en Islande où, en compagnie de Hans, un guide dévoué et intrépide, ils s’enfoncent dans les entrailles d’un volcan éteint, le Sneffels, sur les traces d’Arne Saknussemm.

Ses longs cheveux, repoussés par l’ouragan et ramenés sur sa face immobile, lui donnent une étrange physionomie, car chacune de leurs extrémités est hérissée de petites aigrettes lumineuses. Ces paroles ne sont pas achevées que l’horizon du sud change subitement d’aspect. Sur le mat, où je vois déjà poindre un léger feu Saint-Elme, la voile détendue tombe en plis lourds. À dix heures du matin, les symptômes de l’orage sont plus décisifs ; on dirait que le vent mollit pour mieux reprendre haleine ; la nue ressemble à une outre immense dans laquelle s’accumulent les ouragans. De la même manière, les personnages sont pris par des hallucinations quand ils voguent sur la rivière souterraine en raison de la forte chaleur.

Le texte témoigne d’un regard à la fois poétique et scientifique du narrateur. •Et puis, écrivez une composition où vous ferez un résumé du contenu de votre lecture ainsi que des vos impressions personnelles. Cette fois-ci, consultez dans un dictionnaire les mots qui vous semblent les plus importants ou nécessaires pour bien comprendre la lecture.

Ils arrivent près d’un troupeau d’espèces du quaternaire et du tertiaire (des ères géologiques ayant véritablement existé il y a plusieurs millions d’années sur Terre). Enfin, ils trouvent un poignard sur lequel est gravé le nom de l’auteur du manuscrit à l’origine de cette expédition, d’où provient également le parchemin, ce qui leur indique qu’ils sont sur la bonne voie. Cependant, une impatiente curiosité nous entraînait. Nos pieds écrasaient avec un bruit sec les restes de ces animaux anté-historiques, et ces fossiles dont les muséums des grandes cités se disputent les rares et intéressants débris.

Sitôt décodé avec l’aide de son neveu, le professeur décide de se rendre en Islande sur les lieux à propos desquels le manuscrit parle. Ils se hâtent de partir et s’affairent à réaliser les préparatifs, et en deux jours, ils entament leur long voyage jusqu’en Islande. Ceci pouvait expliquer jusqu’à un certain point l’existence de cet océan, à quarante lieues au-dessous de la surface du globe. Mais, suivant moi, cette masse liquide devait se perdre peu à peu dans les entrailles de la terre, et elle provenait évidemment des eaux de l’Océan qui se firent jour à travers quelque fissure.

Ses ouvrages sont brûlés à Copenhague en 1573. Le professeur Lidenbrock décide de partir dès le lendemain. Les deux protagonistes sont en désaccord sur le départ en voyage vers l’inconnu. Le professeur veut vérifier la théorie d’Humphry Davy qui dit que les températures profondes seraient moins élevées. Axel, lui, soutient l’hypothèse de Siméon Denis Poisson, défenseur de la théorie de la chaleur centrale.